L'autoprotection
Définition : dispositif de protection par aspersion d'eau grâce à des buses, intégré à l'engin, qui a pour but de mettre en sécurité les utilisateurs dans la cabine et de protéger les pneumatiques pour un déplacement éventuel de l'engin.
L'autoprotection thermique doit être un ensemble constitué d'un dispositif d'aspersion d'eau et de deux dispositifs d'alimentation ( un indépendant et un supplémentaire ). Elle doit pouvoir être mise en oeuvre et fonctionner, l'engin étant à l'arrêt ou en situation de roulage, et dans toutes les situations et positions de l'engin ( pente de 50%, devers de 30%...) car ce système est vital pour l'équipage.
Les zones de protection minimale sont :
- surfaces vitrées: chaque élément vitré doit être protégé par aspersion ou rideau d'eau sur au moins 75% de sa surface, la pulvérisation pouvant être en contact ou non avec les surfaces vitrées.
- face avant de l'engin: la protection doit se faire essentiellement par rideau d'eau et l'eau de ruissellement entrant dans la protection.
- pneumatiques: les pneumatiques doivent être protégés par aspersion sur les faces supérieures des bandes de roulement et au moins 50% du flanc extérieur. Dans le cas de roues jumelées, la protection doit être réalisée sur le flanc extérieur du pneu extérieur.
Tous les orifices d'aspersion doivent être alimentés au bout de 20seconde et l'autoprotection doit être efficace en 1 minute maximum. Le débit de l'ensemble du dispositif ne devant pas être inférieur à 60L/mn.
La capacité minimum pour permettre l'autoprotection est une réserve de 300L dans la citerne, pour alimenter efficacement (débit/pression) l'ensemble des dispositif d'aspersion pendant une durée minimale de 3minutes. Un signal sonore prévient le conducteur du CCF lorsque cette capacité minimale est atteinte.
L'autoprotection doit être rapide, ne necessitant qu'une seule action, elle doit se faire à l'aide d'un bouton de type "coup de poing" de couleur jaune, visible de nuit. Situé en cabine, il doit être accessible par le conducteur et le chef d'agrés.
L'autoprotection thermique doit être un ensemble constitué d'un dispositif d'aspersion d'eau et de deux dispositifs d'alimentation ( un indépendant et un supplémentaire ). Elle doit pouvoir être mise en oeuvre et fonctionner, l'engin étant à l'arrêt ou en situation de roulage, et dans toutes les situations et positions de l'engin ( pente de 50%, devers de 30%...) car ce système est vital pour l'équipage.
Les zones de protection minimale sont :
- surfaces vitrées: chaque élément vitré doit être protégé par aspersion ou rideau d'eau sur au moins 75% de sa surface, la pulvérisation pouvant être en contact ou non avec les surfaces vitrées.
- face avant de l'engin: la protection doit se faire essentiellement par rideau d'eau et l'eau de ruissellement entrant dans la protection.
- pneumatiques: les pneumatiques doivent être protégés par aspersion sur les faces supérieures des bandes de roulement et au moins 50% du flanc extérieur. Dans le cas de roues jumelées, la protection doit être réalisée sur le flanc extérieur du pneu extérieur.
Tous les orifices d'aspersion doivent être alimentés au bout de 20seconde et l'autoprotection doit être efficace en 1 minute maximum. Le débit de l'ensemble du dispositif ne devant pas être inférieur à 60L/mn.
La capacité minimum pour permettre l'autoprotection est une réserve de 300L dans la citerne, pour alimenter efficacement (débit/pression) l'ensemble des dispositif d'aspersion pendant une durée minimale de 3minutes. Un signal sonore prévient le conducteur du CCF lorsque cette capacité minimale est atteinte.
L'autoprotection doit être rapide, ne necessitant qu'une seule action, elle doit se faire à l'aide d'un bouton de type "coup de poing" de couleur jaune, visible de nuit. Situé en cabine, il doit être accessible par le conducteur et le chef d'agrés.